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L’autorité morale du parti politique Avenir du Grand Congo, AGCO, Jean Calvin Mbweso, au nom du bureau politique de sa formation politique a posé 3 questions essentielles au Président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, sur un certain nombre de choses qui se déroule au pays.

Avant toute chose, Jean Calvin Mbweso de l’AGCO, parti extra Kabiliste, l’œil et l’oreille du peuple, a présenté ses condoléances aux habitants de la partie Est de la RDC, particulièrement ceux de Goma, où le sang a encore coulé avec le bombardement de camp de déplacés de Mugunga.

Le bureau politique de l’AGCO par la bouche de son autorité morale, Jean Calvin Mbweso pose 3 questions au président Félix Tshisekedi en disant : quelle est cette diaspora consciente, qui a le sens patriotique qui peut demander une révision constitutionnelle, pendant que l’article 219 de la constitution de la RDC interdit une quelconque révision pendant l’état de siège, l’état d’urgence et l’état de guerre ?

En outre, le bureau politique de l’AGCO veut savoir, quelle est cette disposition constitutionnelle qui bloque la première ministre, Judith Swaminwa, de former son gouvernement aussitôt, pendant qu’elle a été nommée par l’autorité suprême de la république, conformément à l’article 68 de la constitution de la RDC ?

Et enfin, le bureau politique de l’AGCO, par le truchement de son autorité morale toujours, Jean Calvin Mbweso, pose la question de savoir, s’il n’y a pas une main noire qui freine la sortie de ce gouvernement dans le seul but de favoriser le détournement de deniers publics ?

Après toutes ces questions, Jean Calvin Mbweso, autorité morale de l’AGCO, rappelle au Président de la République, Félix Tshisekedi que le peuple congolais continue à croupir dans la misère et dans la souffrance et il a besoin de son ses élevé de l’humanisme pour garantir sa survie.

Le bureau politique de l’AGCO prie également au président de la République d’arrêter de perdre du temps et mettre en priorité les actions concrètes et palpables, pour ne plus revivre cette histoire de détournement de fond publics, dans le dossier 100 jours, dans son premier mandat.

Djo Akeks