Après avoir été en Éthiopie où il a donné un concert pour le compte de la francophonie et en Angola pour le compte d’un festival de Jazz, Jean Goubald Kalala est revenu à Kinshasa pour poursuivre ses activités.
Ce chanteur congolais écrit une chanson sur le réchauffement climatique et il s’inspire avec beaucoup d’ouvrages de prêtres pour finaliser le single qu’il a baptisé momentanément s.o.s, la maison brûle. Entre temps, l’album norme continue à se vendre sur les plateformes de téléchargement digital.
Retenons que Jean Goubald Kalala apprend la gouvernance publique et le développement national à l’Université de Kinshasa (UNIKIN), lui qui a obtenu déjà son diplôme de philosophie à l’université Saint Augustin, à la 13ème rue Limete, il a aussi le diplôme de management de l’Université William Booth et celui du Collège de Hautes Études et Stratégiques.
Parlant du chanteur international Jupiter Bokonji, avec qui Jean Goubald Kalala a collaboré dans le groupe Okwess, il y a quelques années, le chanteur a soutenu à la rédaction de factuel.cd qu’ils ne s’étaient pas accordés sur un problème de finances.
« J’avais réalisé une chanson patriotique après un concours, et lui m’avait demandé de partager tout ce que j’avais gagné dans ce concours avec le groupe Okwess, à la place d’un pourcentage. Or, personne n’avait participé et contribué à la chanson. C’est comme ça que je m’étais décidé de quitter le groupe, à la veille de leur voyage en Côte d’Ivoire pour participer au Marché des Arts et Spectacles Africains », a renseigné Jean Goubald Kalala.
Djo Akeks