Le président de l'Avenir du Grand Congo AGCO en sigle, Jean-Calvin Mbweso a rappelé à l'opinion que ça fait aujourd'hui 3 ans jour pour jour que son parti a demandé au gouvernement congolais la construction d'un mur à la frontière entre l'Ouganda, le Rwanda et le Burundi, afin d'éviter la violation du territoire national.
Dans un entretien avec un de nos reporters, le président de l'AGCO, Jean-Calvin Mbweso a déclaré : ‹‹ La République Démocratique du Congo a beaucoup reculé et il commence à être déchiré avec les prises de certaines villes de l'est ››.
D'après lui, les deux chambres du parlement congolais devaient s'occuper de toutes les situations de zones de conflits pour un avenir meilleur. Le Kwamouth a de problèmes de sécurité et des guerres ethniques, l'EST du pays continue à être dérangé. D'où l'idée de la construction de ce mur pour protéger nos frontières et nos richesses, a-t-il ajouté.
Le président du parti ultra kabiliste n'a pas manqué de rappeler qu'à l'époque du président Kabila, les rebelles du M23 n'existaient plus, avant de soutenir que l'ambassadeur rwandais en RDC devait être expulsé depuis longtemps, mais ça traînait toujours, malgré les pressions de son parti, l'AGCO.
Le président de l'AGCO Jean-Calvin Mbweso a également soutenu au cours de son entretien avec la rédaction de factuel.cd que le Ministre de communication et médias devait bien jouer son rôle d'informer la population sur toutes les situations du pays au lieu d'aborder d'autres sujets qui ne sont pas importants en ce moment.
Djo Akeks