Addis Abeba, capitale d’Ethiopie a accueilli la réunion consultative de Haut niveau des chefs traditionnels et religieux africains sur la convention de l’Union africaine visant à mettre fin à la violence à l’égard des femmes et des filles sur l’initiative de la RDC et de ONUFEMME.
Tenue dans la salle des conférences de l’Hotel Hilton d’Addis Abeba du 3 au 4 octobre 2024. Cette réunion de Haut niveau co–organisé par la République démocratique du Congo et ONUFEMME, a connu la participation du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de World Vision, l'agence directrice des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNPA), l’Union Africaine et l’association des leaders coutumiers africains.
Le thème abordé est très capitale pour la RDC, pays où les femmes sont la cible de plusieurs attaque dû à l’agression de certains pays voisins à travers des mouvements armés tel le M23, l’AFC…
La RDC a été représenté à ces assises par Madame Chantal Yelu Mulop, Coordonnatrice du service spécialisé du Chef de l’Etat en charge de la jeunesse, lutte contre les violences faites à la femme et traite des personnes et le Vice-Ministre des affaires coutumières , lui-même leader traditionnel clairement porté la voix du Gouvernement Suminwa et a profité de cette tribune pour dénoncer les violences contre les femmes et les jeunes filles dans son pays à cause des forces négatives manipulées par certains voisins.
A l’issue des travaux, la cheffe de division de l’Union Africaine chargée des questions des femmes et de la jeunesse a salué l’implication exemplaire du Président Tshisekedi sur la masculinité positive.
Apprenant à la fin des travaux, le décès des compatriotes qui ont perdu la vie dans le nauffage de Goma, sa ville natale, Mwami Ndeze a salué la mémoires de ses frères et sœurs qui ont périt.
F.K/Factuel.cd