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Le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Jean-Jacques Mbungani s'est entretenu, ce mardi 25 octobre 2022, dans son cabinet de travail, avec Christophe Desteuque, directeur de la société française E.D.E/France, pour appuyer les établissements publics de santé dans les techniques et thérapies non médicamenteuses.

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Soulignons que la Vice- ministre, Véronique Kilumba était également de la partie dans ces échanges entre Le ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Docteur Jean-Jacques Mbungani Mbanda, et Christophe Desteuque, Directeur de la société française E.D.E.

Notons que les échanges entre l’autorité sanitaire et son interlocuteur ont tourné autour des problèmes de santé mentale en République Démocratique du Congo.

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Au sortir de l'audience, le Directeur de l'E.D.E s'est exprimé en ces termes : 

"Nous travaillons dans la mise en place des dispositifs et techniques nous permettant de travailler notamment dans les établissements de santé, pour la santé mentale et la qualité de vie au travail.

C'est pour cela que sommes reçus, aujourd'hui, par son Excellence, justement pour pouvoir appuyer toutes les techniques, que nous utilisons déjà en France, dans les établissements de santé, pour pouvoir privilégier toutes ces techniques et thérapies non médicamenteuses, associées aux thérapies qui sont déjà mis en place", a indiqué Christophe Desteuque.

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Toutefois, le Directeur de la société E.D.E a félicité la volonté du ministre Jean-Jacques Mbungani de prendre en charge la santé mentale de la population congolaise.

"Je note que le ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention veut prendre ce problème à bras-le-corps, parce que, en fait, la santé mentale est aujourd'hui la clef de voûte de toutes les pathologies, notamment qui vont dégénérer après, comme des pathologies cardio-vasculaires, toutes les pathologies et cas de cancérologie.  Il y a aussi tous les problèmes de santé mentale pour les adolescents

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.Donc, l'idée, c'est de pouvoir travailler en amont, en préventif, et après, pour éviter d'arriver à toutes ces pathologies.  

Et pour les personnes, qui sont déjà dans ces pathologies, de pouvoir les prendre en charge, pas qu'avec des techniques chimiques, comme aujourd'hui, mais associées à des thérapies non-médicamenteuses, pour avoir une prise en charge, qu'on appelle, chez nous, la médecine intégrative", a conclu Christophe Desteuque, directeur de l'E.D.E.

Soulignons que l'organisme de formation innovant, E.D.E qui veut partager son expérience avec les établissements publics de Santé en RDC accompagne déjà exclusivement les établissements de soins partout en France, en proposant des formations spécialisées conçues et animées par des professionnels de santé en activité.

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 Grâce au déploiement de dispositifs thérapeutiques non médicamenteux exclusifs de pointe basés sur la Luminothérapie, la structure française participe à l'amélioration de la qualité des soins et du bien-être, en mettant au point une méthode spécialisée permettant une prise en charge adaptée.

Le docteur Jean-Jacques Mbungani, ministre de la santé publique, hygiène et prévention, en partageant avec Christophe Desteuque, directeur de la société française E.D.E/France souhaite que la santé mentale de ses compatriotes soit suivie à la loupe, en appuyant les établissements publics de santé dans les techniques et thérapie non médicamenteuses.

Djo Akeks